Format : PDF – EPUB – KPF

Résumé :

Dans La belle étrangère, Max du Veuzit nous présente l’histoire envoûtante d’une femme mystérieuse et venue d’un lointain horizon, dont l’arrivée bouleverse l’ordre établi d’une petite communauté. Dotée d’une beauté captivante et d’un charme énigmatique, cette étrangère se révèle être bien plus qu’une simple apparence séduisante : elle incarne une force de changement qui remet en question les traditions et les certitudes de ceux qui l’entourent.

À son arrivée, elle suscite autant l’admiration que la méfiance. Très vite, des passions se déchaînent et des rivalités naissent, tantôt dans le cœur des hommes que dans l’âme des femmes du village. L’intrigue se tisse autour de ses secrets enfouis et des mystères de son passé, qui semblent inexorablement liés aux espoirs d’un avenir différent. Au fil des pages, les confrontations entre les valeurs anciennes et l’attrait irrésistible de l’inconnu se dessinent, et un amour naissant entre l’étrangère et un habitant local met en lumière la tension entre la sécurité du connu et l’épreuve du changement.

Conclusion :

La belle étrangère est un roman qui marie subtilement le mystère, la romance et la critique sociale. Max du Veuzit y explore les thèmes de l’identité, de l’appartenance et de la transformation, en illustrant comment l’arrivée d’un être venu d’ailleurs peut déclencher une véritable révolution intérieure et collective. À travers ce récit passionnant, l’auteur nous rappelle que la beauté et le charme de l’inconnu sont souvent porteurs d’une force capable de réveiller des vérités enfouies et d’ouvrir la voie à un renouveau. Une lecture riche en émotions et en réflexions, qui captive et incite à penser autrement le changement.

Le plaisir de lire avec La Petite Librairie

Biographie :

Alphonsine Zéphirine Vavasseur, connue sous le nom de plume de Max du Veuzit, était une écrivaine française née le 29 octobre 1876 au Petit-Quevilly et décédée le 15 avril 1952 à Bois-Colombes. Elle est reconnue pour avoir écrit de nombreux romans sentimentaux qui ont rencontré un grand succès.

Épouse de François Simonet, employé aux chemins de fer de l’Ouest, elle a commencé sa carrière littéraire sous le pseudonyme de Max du Veuzit. En 1902, elle est admise à la Société des gens de lettres et devient membre de la Société des auteurs dramatiques ainsi que de la Société de géographie.

Elle a exercé plusieurs fonctions au cours de sa vie : rédactrice en chef du Journal de Montivilliers et critique littéraire pour plusieurs journaux normands en 1905. Ses romans, souvent centrés sur des thématiques sentimentales, ont rencontré un vif succès auprès du public.

En 1932, elle résidait à l’avenue Allard à Bois-Colombes, ainsi qu’à Orgeval, et a acquis le château de Théméricourt en 1935. À la fin de sa vie, elle a vécu au 3 villa Logerais à Bois-Colombes.

Max du Veuzit a laissé derrière elle un héritage littéraire important grâce à ses romans populaires qui ont marqué la littérature sentimentale de son époque. Son pseudonyme reste associé à ses œuvres largement lues et appréciées.

Serge